Per Sani
C'est la Mort qui console, et l'odeur qui fait vivre
C'est le destin de ces hommes et leur seul espoir
L'un malade et malingre, l'autre, très fin bourgeois
ils longent un chemin, puis s'arrêtent et discutent
A travers l'orage, la pluie, les nuages et le givre,
Il parlent du Temps qui pointe et qui passe
sans trève, sans repos, en hurlant : "Je suis Libre,
Et décide de vos rires, vos plaisirs et vos larmes ".
Et les nourrissons d'agiter leurs mains toutes petites
pour se plaindre, en pleurant, de l'odeur exotique
que très vite ils relient aux images de la Mort;
C'est vraiment notre fatum quotidien et tragique
Que de transformer cette senteur étrangère
En patrie familière ou en épave utopique !
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3 comentaris:
Apa! no era prou difícil fer-ho en català que vas i ens ho fas en francès! Chapeau - encore- mon ami!
uix, ara sóc jo la que no ho entén gaire... anyway, sembla prou complicat i currat!
Superb, això millora amb tones d'enginy i literatura...
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